Dimanche à l’atelier : lecture et broderie

Broder le dimanche Mode d'Hier et d'Aujourd'hui

Bonjour à toutes et tous ! J’espère que vous avez passé un bon week-end. Pour ma part c’est le premier week-end depuis un bon bout de temps que je passe intégralement chez moi peinarde et vous ne pouvez pas savoir comme ça m’a fait du bien (même si je persiste à penser que 2 jours c’est trop court). J’avoue que je n’ai quand même pas eu le courage de continuer la robe d’Elsa, dont je vous parlais dans cet article, mais j’ai bouquiné (je ne suis pas loin de n’avoir plus que 3 livres dans ma pile de livres en cours !) et j’ai brodé.

état de la broderie du fichu 18e
La photo floue

fleur centrale broderie fichu 18ePour cette broderie j’ai voulu tester les bobines de fil à broder assez brillant qu’on trouve parfois en mercerie (ici c’est de la rayonne et non de la soie) et j’ai complété avec du coton mouliné DMC pour les feuillages. Je n’aime pas du tout utiliser ce fil à broder. Il n’est peut-être pas fait pour l’usage que j’en fais (soit de la broderie à l’aiguille), en tout cas je dois faire de toutes petites aiguillées parce que le fil se dédouble très vite. Du coup l’ouvrage est assez pénible, sans compter qu’en plus je ne suis pas très convaincue par l’assemblage des couleurs que j’ai choisies. Maintenant c’est un peu tard de toute façon donc je vais aller jusqu’au bout, mais j’espère que Perrine aura moins de réserves que moi… :-/

fil à broder en rayonne pour fichu 18e
Le fil à broder en question

Je vais essayer d’adopter la stratégie qui consiste à se focaliser sur un seul et unique projet pour le mener à bien (parce qu’on a bien vu que la diversité des projets n’est pas très probante chez moi) donc m’efforcer de ne rien faire d’autre en travaux manuels tant que je n’ai pas terminé cette broderie. #motivation

Et vous, vous avez cousu/brodé ce week-end ? Quels sont vos projets du moment ?

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[LIVRES] Coiffures XVIIIe siècle

couv livre coiffures XVIIIe siècle Kendra Van Cleave livre

Bonjour à toutes et tous ! J’espère que votre week-end a été fructueux et en tout cas davantage que le mien. 😉

Je reviens aujourd’hui car j’ai réalisé que j’avais un peu laissé de côté la rubrique « livres » de ce blog. La raison principale étant que j’ai drastiquement diminué mon budget livres, mais il y a tout de même une vieille nouveauté dont j’ai complètement oublié de vous parler, j’ai nommé le livre de Kendra Van Cleave que j’avais acheté en précommande alors qu’elle était encore en train de le préparer.

livre de coiffures XVIIIe siècle Kendra Van Cleave
Kendra Van Cleave, 18th Century Hair & Wig Styling : History & Step-by-Step Techniques, 2014 (auto-édition). ISBN : 978-0-692-22043-6

Si vous ne connaissez pas Kendra, c’est une costumière américaine et blogueuse très talentueuse qui est surtout spécialisée dans le XVIIIe siècle. L’année dernière (ou peut-être même il y a deux ans oui, c’est bien ça, 2 ans) elle a écrit un livre de pas-à-pas pour réaliser des coiffures du 18e, aussi bien sur des cheveux naturels que sur des perruques.

Vous aurez noté mes participations très limitées (pour ne pas dire inexistantes aujourd’hui) à des événements costumés , il est donc vrai que je n’ai pas tellement l’utilité de ce livre, mais à l’époque je voulais soutenir le projet de Kendra et après tout, on ne sait jamais, peut-être qu’il me sera utile un jour.

Le livre est bien sûr en anglais, mais il a l’avantage d’être abondamment illustré ce qui permet, je pense, une compréhension simplifiée. Il se divise en 3 parties : une première partie historique dans laquelle Kendra revient sur tous les styles de coiffures au XVIIIe siècle pour les hommes et les femmes (plusieurs reproductions de tableaux et sculptures pour chaque décennie du siècle) ; une partie technique avec des conseils pour porter une perruque, les accessoires nécessaires pour ce coiffer, etc. (le fait qu’il y ait des photos permet aussi de se familiariser avec le vocabulaire en anglais) ; et une dernière partie pas-à-pas où Kendra nous montre la réalisation de plusieurs coiffures (certaines sur cheveux mi-longs à longs, d’autres sur perruques). Évidemment je n’ai jamais essayé d’en réaliser aucune, mais les étapes paraissent plutôt claires.

En tout cas je pense que c’est un bon livre à avoir quand on fait des sorties en costumes XVIIIe et qu’on cherche à avoir un look général relativement « authentique ».

Apparemment le livre est toujours disponible à la vente sur son propre site : ici.

Vous déjà testé les coiffures du livre de Kendra ? Qu’en pensez-vous ?

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Inspiration #3 : fichus brodés

Inspiration fichus brodés 18e Mode d'Hier et d'Aujourd'hui

Bonjour à toutes et tous ! N’ayant pas du tout cousu ce week-end, je commence la semaine avec un peu d’inspiration pour le fichu brodé de Perrine. Pour le moment je ne suis pas encore très décidée sur le détail des motifs et où placer telle ou telle couleur. Ma bonne résolution de cette semaine c’est de m’accorder du temps tranquille chez moi pour broder. Ce serait bien que je puisse au moins finir le tracé global pour pouvoir retirer le papier de soie sur lequel le motif est dessiné. On y croit ! ^^

Des fichus brodés

fichus brodés inspiration1. Fichu brodé, 1780-1795, Europe, Colonial Williamsburg (je n’ai pas retrouvé la page exacte avec les références sur le site)

2. et 4. Ensemble robe à l’Anglaise et fichu, 1780-1790, LACMA

3. Fichu, 3e quart du XVIIIe siècle, coton, Metropolitan Museum of Art, New York

5. Sans aucune certitude, je crois que c’est un tissu brodé de chez Schumacher, mais qui ne doit plus être commercialisé.

Bonne semaine !

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[EXPO MODE] Déboutonner la mode aux Arts Décoratifs

habit 18e brodé en pièces, musée des Arts Décoratifs

Profitant d’un rendez-vous au musée des Arts Décoratifs jeudi dernier, j’ai visité l’exposition « Déboutonner la mode » (jusqu’au 19 juillet 2015) dont j’avais entendu du bien. Vous vous souvenez peut-être de ma critique de l’expo « L’impressionnisme et la mode » et du fait que je suis assez difficile à satisfaire en termes d’expositions, que ce soit de mode ou d’autre chose, et celle-ci ne fait pas exception.

L’expo des Arts Décoratifs a en effet des qualités (surtout sur la première partie jusqu’aux années 1910), mais elle ne m’a pas complètement satisfaite. Précisons que je l’ai visitée dans des conditions un peu bruyantes (il y avait un groupe en même temps que moi dans la salle) ce qui n’aide pas vraiment à se concentrer et à apprécier la problématique et la façon dont elle est mise en place. Néanmoins il y a de très très belles pièces (notamment ce fabuleux jupon XVIIIe brodé du Kyoto Costume Institute – malheureusement pas trouvé sur le site – et des pièces d’habits à la française brodées, mais pas encore montées) et des boutons divers très très beaux et originaux.

habit 18e brodé en pièces, musée des Arts Décoratifs
Habit 18e en pièces. Les boutons sont brodés par le brodeur en même temps que le reste de l’habit avant de le tailler.
habit 18e brodé en pièces, musée des Arts Décoratifs
Habit 18e en pièces. Les boutons sont brodés par le brodeur en même temps que le reste de l’habit avant de le tailler.

Malgré la circulation toujours un peu confuse dans les espaces d’expositions temporaires du musée des Arts Décoratifs, le parcours est à la fois chronologique et thématique et met en lumière la diversité des boutons en termes de matériaux, d’artisanat et de décorations. Cette grande variété et les différentes modes de boutons du XVIIIe au XXe siècles sont vraiment intéressantes et la première partie de l’exposition est à la fois foisonnante et claire dans son discours.

gilet homme 1880-1900
Gilet, 1880-1900.
(désolée pour le manque de précisions de la légende, mais ma photo du cartel est complètement floue) :-/
gilet d'homme 19e siècle
Gilet d’homme, démarcation des tissus.
gilet mode homme 19e siècle
En haut gilet à col châle, en bas gilet.
gilet homme col châle
Gilet à col châle, (date illisible sur ma photo)

Une analyse de la société par le vêtement encore trop peu présente

Les pièces exposées commencent, il me semble au XVIIIe siècle (je me trompe peut-être) et se concentrent sur les vêtements très riches (le bouton étant un accessoire luxueux). J’ai trouvé un peu dommage de ne pas montrer l’alternative aux boutons sur les vêtements populaires surtout que c’est aujourd’hui pour nous difficile d’imaginer ce qui pouvait remplacer les boutons sur des vêtements.

robe de mariée 1882
Robe de mariée, 1882, Les Arts Décoratifs, collection UFAC
robe de mariée 1882
Détail de l’ourlet, Robe de mariée, 1882, Les Arts Décoratifs, collection UFAC
caches-corset 1880
Deux cache-corset 1880.
Cache-corset et pantalon 1880
Cache-corset et pantalon 1880
robe d'après-midi 1870
Robe d’après-midi en trois parties vers 1870
bottines 1900
Bottines 1900 (ou 1880, j’ai un doute) et tire-boutons
robe de courses 1913
Photographie modèle de Dukes, Studio Talbot, 1913.
Costume pour les courses, Les Arts Décoratifs >> inspiration pour reprendre ma tenue 1914

La deuxième partie de l’exposition (à partir des années 1950 surtout) m’a beaucoup déçue (malgré quelques très belles pièces) parce qu’elle délaisse totalement la dimension sociale du vêtement par le bouton pour se concentrer sur l’utilisation des boutons dans la Haute Couture. Comme souvent les expos de mode post deuxième guerre mondiale se concentrent exclusivement sur les maisons de luxe en oubliant totalement le vêtement quotidien et en l’occurrence l’utilisation du bouton dans ce vêtement. La deuxième partie de l’expo, que j’ai trouvée assez inutile pour le propos général, est simplement un prétexte pour montrer des belles robes, ce qui n’est pas déplaisant, mais un peu agaçant. Je rêve de plus en plus d’une exposition de mode de la deuxième moitié du XXe siècle s’attachant à l’habillement quotidien et à ses implications sociales (je ne dis pas qu’il n’y en a pas, mais je n’ai pas vraiment le souvenir d’en avoir vu). De plus, à partir de la fin du XIXe siècle l’exposition oublie un peu le vêtement masculin, qui pourtant n’a jamais cessé d’utiliser des boutons.

Boutons patriotiques arts décoratifs
Boutons patriotiques vers 1944.
robe 1944 Libération Paris
Robe cousue et portée pour la Libération en 1944.

Par ailleurs la toute dernière partie consacrée aux boutons d’artistes m’a un peu laissée sur ma faim. Bref je suis un peu mitigée sur cette exposition. Contente de l’avoir vue, contente d’avoir appris des choses (les boutons illustrés au XVIIIe siècle sont absolument passionnants), mais un peu déçue du traitement qui a été fait de la deuxième moitié du XXe siècle. Je vous conseille néanmoins d’aller la voir si vous en avez l’occasion. Il y a de très belles choses et elle n’est pas dénuée d’intérêt. Notez que, comme toujours pour les expos de mode aux Arts Décoratifs, il y fait très sombre. Une nécessité pour protéger les tissus très sensibles à la lumière, mais peut-être faudrait-il en informer les visiteurs, qui ne peuvent pas le deviner.

Robe Dior années 1950
Robe Dior années 1950
Robe Dior 2013
Robe Dior 2013
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Concours Anniversaire #2 : on a une gagnante !

Fichu brodé conservé au LACMA

Pour la deuxième année maintenant, une lectrice du blog (ça aurait aussi pu être un lecteur, mais il n’y a pas eu de participation masculine au concours) a participé au concours de plis que j’ai lancé en automne dernier et a donc gagné un accessoire brodé que je vais réaliser spécialement pour elle.

Perrine (du blog Diary of a dream come true) avait envie d’un fichu brodé et il se trouve que depuis quelques années je rêve de reproduire plus ou moins un fichu brodé conservé au LACMA. Nous nous sommes donc mises d’accord là dessus, même si je vais peut-être prendre quelques libertés avec le motif et les couleurs. En plus comme Perrine fait quand même plus de sorties en costumes que moi ça me permettra de le voir vivre en photos. :-)

Fichu brodé conservé au LACMA
Fichu brodé conservé au LACMA porté sur une robe à l’anglaise, 1780-1790
Fichu brodé conservé au LACMA
Gros plan sur le fichu
Fichu brodé conservé au LACMA
Détail des broderies

Bien sûr, ça ne va pas être très rapide et je doute de pouvoir le terminer avant 2016, mais c’est un projet qui me motive bien.

À bientôt !

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Corset piqué XVIIIe en préparation

toile corset XVIIIe siècle

Hier c’était le challenge « Under it all » du Historical Sew Fornightly. Malheureusement je ne fais que commencer mon corset pour y participer. Comme d’habitude, plus j’ai de temps disponible et moins je bosse…

J’ai utilisé le patron Butterick B4254, que j’ai pas mal modifié (j’ai réduit la hauteur dos ainsi que la largeur du tour de poitrine, j’ai beaucoup réduit la largeur des bretelles et creusé le décolleté dos, parce que mon ancien corset dépassait sous ma polonaise). J’ai fait une toile qui me semble convenir même si elle est faite un peu « à l’arrache ».

J’utilise deux épaisseurs de piqué de coton qui prennent en sandwich deux épaisseurs de molleton synthétique. Je pense que je ferai en plus une doublure indépendante du piquage pour que l’intérieur du corset soit très propre (et doux). Je ne sais pas tellement si cette technique est historique. À dire vrai, je n’ai jamais vu d’exemples de corset piqués d’époque. Je vais piquer et assembler ce corset intégralement à la main, principalement par flemme de sortir ma machine (mon appartement est très petit et je ne peux pas la laisser traîner) et aussi parce que j’aime bien coudre à la main.

toile corset XVIIIe siècle
La toile du corset. Ici le devant est cousu, mais sur le corset final il sera lacé comme l’arrière.
corset 18e piqué
Molleton pour le piquage
corset 18e piqué
Deux épaisseurs de coton autour de deux épaisseurs de molleton.
corset XVIIIe prêt à piquer
Le corset est prêt à piquer. Il faut que je trouve un motif sympa à faire sur le devant…

Toutes les pièces sont prêtes à piquer, je vais donc m’y mettre doucement en parallèle de projets pas histo pour des copines.

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Ruché de polonaise pratiquement terminé

Ruché nid d'abeille polonaise 18e siècle

Beaucoup de couture ce week end et la couture main de mon ruché de polonaise avance relativement vite finalement (il ne doit plus me rester qu’un gros mètre à coudre je pense). J’ai donc fait un petit essayage en vitesse pour vous montrer ce que ça donne, mais ce n’est pas du tout pratique de prendre de bonnes photos chez moi. :-/ De plus, l’essayage est fait sans corset parce que je n’ai plus de corset XVIIIe à ma taille (je vais donc m’y atteler très vite pour le challenge de la prochaine quinzaine du HSF).

Ruché nid d'abeille polonaise 18e siècle
La plus grande partie du ruché est cousue.
robe à la polonaise 18e
3/4 face
côté polonaise 18e siècle
De côté
retroussé polonaise 18e siècle
Retroussé vite fait

Il faut noter que plus ce projet avance, moins il est historique, tant du point de vue de la réalisation technique que de mes choix esthétiques. Je pense que ce costume sera aussi assez peut portable : le jupon piqué comme le manteau de robe sont vraiment lourds, alors cette tenue risque fort de connaître son heure de gloire en séance photo et c’est tout.

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[18ème siècle] Poche en lin brodée main

poche brodée 18e siècle biais

Et voilà un projet terminé : la poche brodée que je réalisais pour Green Martha.

Elle est réalisée en lin blanc, brodée au coton mouliné à l’aiguille (majoritairement en point de chaînette), et doublée avec un tissu écru probablement synthétique (ou coton mélangé) pour protéger l’envers de la broderie du frottement avec ce que Marion mettra dans sa poche (des clés par exemple). J’aurais préféré la doubler avec du coton blanc, mais je n’en avais pas sous la main. Le pourtour de la poche est piqué à la machine, mais tout le biais (que j’ai découpé dans mon lin blanc) est posé à la main pour que ce soit très propre.

Pour la finir complètement il faudrait que je recouvre le bord supérieur (surfilé à la machine) d’un ruban de sergé qui servirait également de ceinture, mais je n’en ai plus. Je pense donc que je vais envoyer la poche telle quelle à Marion et lui laisser le soin de mettre une ceinture à cette poche (supposée être portée sur la gauche).

Ce serait mieux si la poche était intégralement brodée, mais j’espère que ça plaira quand même à sa propriétaire.

poche brodée 18e siècle finie
La poche terminée !
borderie point de chaînette 18e siècle
La broderie en point de chaînette.
ouverture poche 18e brodée
Le biais de l’ouverture, posé main.
poche brodée 18e siècle biais
Le biais posé main.
dos poche 18e gauche
Le dos de la poche, aussi propre que le devant.
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Vous pensiez que j’avais abandonné ?

ruche smocks

Et bien non ! Ce projet de polonaise d’hiver – qui dure et qui dure depuis quoi… 1 an et demi maintenant ? – n’est pas au point mort. Il avance, très très lentement, mais si l’on considère tout ce qui est déjà fait, l’avancée n’est pas si mal.

Car oui, j’ai ENFIN terminé les smocks du pourtour du manteau de robe ! Il ne reste plus qu’à les coudre, à la main (ce qui va prendre un certain temps). Je suis assez contente du rendu, même si ce n’est pas franchement historique, mais cette idée de smocks n’est peut-être pas la meilleure idée que j’ai eu.

ruche smocks
Presque 5,70 mètres de smocks
essayage polonaise smocks 1777
Essayage vite fait
robe à la polonaise XVIIIe siècle smocks
De face (et épinglé à l’arrache)
smocks nid d'abeille en ruche
Les smocks à coudre proprement sur le pourtour de la robe (1 mètre est fait, reste 4,70 m)
ruche smocks
Les smocks de plus près

Après ce très gros chantier voici ce qu’il me restera à faire pour cette polonaise :

  • un corset piqué
  • une pièce d’estomac (je n’ai aucune idée de comment je vais faire d’ailleurs)
  • un fichu
  • un bonnet

Presque rien en somme ! 😉

Sinon j’ai aussi épinglé le biais sur la poche de Green Martha.

poche brodée XVIIIe en cours
Biais épinglé, yapuka !

Bref, je n’ai pas mis ce blog aussi souvent à jour que je l’aurais voulu, mais j’ai repris la couture de manière plutôt soutenue !

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